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11 juin 2020 4 11 /06 /juin /2020 23:37

Le baron David de Pury en statue dérange un collectif (six Personnes !) et l’on demande à cette statue d’être déboulonnée.

Retirons l’esclavagiste !

Laissons-le tranquille !

Les pour et les contre. Le bienfaiteur ou l’esclavagiste ?

Les deux mon capitaine ! Il est à la fois un esclavagiste et un bienfaiteur pour Neuchâtel. Ouvrons le débat public et arrivons à un compromis suisse.

Une plaque expliquant qui était vraiment cet aventurier qui s’enrichi en exploitant tous ce qui étaient possible à cette époque. Qu’il était juste un homme de son temps. Pas pire ni plus méchant que d’autres. Cela devrait suffire à calmer les esprits. Ne révisons pas les faits historiques, ne cachons pas les représentations de pierre ou de bronze dans des caves ou les détruire ce qui serait une grave erreur.

Et puis… ceux qui se formalisent de cette présence devraient réfléchir un peu sur qui assuraient la « marchandise » des navires des esclavagistes ? Les assureurs suisses avaient la main sur ce commerce. Les armateurs français faisaient appel aux assureurs suisses. Quels étaient leurs noms ? Quelles assurances aujourd’hui connues de tous participaient à l’esclavage ? On ne nous dit pas tout !

Ne révisons pas l’HISTOIRE.

David De Pury
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31 janvier 2020 5 31 /01 /janvier /2020 19:04

Non ! Non le Monde ne changera pas, la Terre va continuer ses révolutions autour du Soleil sans rien changer à ses habitudes.

Dernièrement un article intéressant de l’ATS avec un titre attirant l’œil : Climat : pourquoi nous n’agissons pas

SCIENCE Les gens ont souvent de la peine à modifier leurs comportements pour contrer le changement climatique. Se basant sur plus de 400 études, Tibias Brosch, professeur de psychologie à l’Université de Genève, a inventorié les barrières qui empêchaient les individus d’agir. Une des difficultés a trait au fait que le cerveau peine à appréhender ce genre de phénomène, qu’on ne peut ni sentir ni toucher directement. Une autre barrière concerne les intérêts propres immédiats. Des personnes ne voient pas en quoi changer de comportement est bénéfique pour elles. Un autre gros obstacle est social. Il est difficile de renoncer à quelque chose alors que son voisin ne fait rien pour protéger le climat. ATS

Voilà, que beaucoup d’entre nous vont se sentir investi d’une légitimité en lisant l’article en question : « Ben oui, pourquoi changer si mon C.. de voisin ne fait rien pour la planète ? »

Autre chose qui est aussi absurde au possible.

Lu dans Bon à Savoir en janvier 2020, rubrique En bref : Les petites bouteilles d’eau coûtent un bras.

Sans compter l’aspect écologique, acheter des bouteilles d’un demi-litre d’eau minérale n’est guère avantageux. Chez Coop et Denner, une Evian de 5 dl est vendue 90 ct., alors qu’il faut débourser 10 ct. de plus seulement pour 1,5 l ! Autre exemple : 5 dl de Swiss Alpina chez Coop coûtent 65 ct., alors que le litre revient à 75 ct. L’écart de prix est encore plus réduit chez San Pellegrino. Migros facture 95 ct. la bouteille d’un demi-litre et 1 fr. celles de 1,25 l. La Vittel Sport de 7,5 dl, munie d’un bouchon spécial, revient à 1,20 fr., soit plus cher qu’une grande bouteille de 1,5 l vendue 1 fr. Chez Aldi, peu importe la quantité ! Les bouteilles de 0,5 l et 1,5l coûtent chacune 25 ct. Tous les grands distributeurs expliquent que l’embouteillage, le transport et le stockage représentent les coûts les plus élevés. Le contenu et la taille de la bouteille n’ont que peu d’importance. Brü/ab

Ben voilà, à vous de savoir si vous aimez les prix élevés ou bas pour de l’eau. Mais est-ce une question de vie chère parce que nous vivons dans un pays riche ? Les pauvres boivent-ils l’eau du robinet ?

Encore un mot.

Connaissez-vous le P.F.H. ? Si oui vous avez peut-être des origines québécoises et vous savez et utilisez l’expression qui explique pas mal de chose…

 

P.F.H. ou « putain de facteur humain » est une expression employée au Québec. « C’est ce qui fait que l’on ne passe pas de ce qu’on sait à ce que cela implique », explique l’astrophysicien Hubert Reeves… (Avec beaucoup d’humour comme à son habitude.)

https://www.youtube.com/watch?v=bI-y743v6ss
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28 juillet 2019 7 28 /07 /juillet /2019 17:18

Une friture de poisson envahi la cage d’escalier de mon immeuble. La Portugaise de l’étage en dessous en est responsable. Pour moi, les jours de grandes fritures de ma voisine, est un calvaire olfactif. Beurk, beurk et voilà que revient des souvenirs de l’enfance de plus de 60 années.

Suite à une maladie enfantine, on décida de m’envoyer dans une colonie d’été à la montagne. Pour moi, aucun souvenir de la maladie ni des modalités qui m’ont été imposées comme cela se faisait alors. Parlions-nous aux petits enfants dans les années 50 ? La lumière des souvenirs s’allume au moment du départ du train en voyant maman sur le quai me signifiant un au revoir avec des gestes bien reconnus, à mes côtés une femme semble regarder la scène et attendre que le train démarre. Me voilà parti avec une inconnue qui au moment de changer de train me tenait la main fermement. Après le train, un chemin caillouteux qui serpente au milieu de grands sapins qui sentaient très bon.

Arrivé devant une grande maison de plusieurs étages aux murs blancs, au pied d’un escalier un homme parle avec la dame inconnue. Le temps de lever les yeux sur la maison et sur l’environnement et cherchant d’où venait cette désagréable odeur de poisson frit qui flottait dans l’air, que l’homme me conduisait déjà dans le réfectoire où l’on mangeait très bruyamment. Des enfants autour des tables, tout me paraissait très haut, très grand, le bruit très fort. L’homme m’éleva et me posa sur une chaise très grande et au niveau de ma bouche une assiette que l’on remplit de nourriture qui déjà me donnait la nausée. Avant même de rentrer dans cette bâtisse, l’odeur désagréable pénétrait mes narines. Alors, sous mes yeux la chose qui sentait si mauvais pour moi était là dans l’assiette avec des pommes de terre cuites à l’eau et persillées et une salade verte accompagnant le tout. Du poisson ! En avais-je déjà mangé à la maison, je n’en savais rien et dans tous les cas, il ne sentait pas aussi mauvais. On voulait que je mange la totalité de l’assiette, je résistais. Le silence d’un réfectoire vide est impressionnant pour le petit garçon de cinq ans que j’étais. La personne qui voulait m’obliger à manger a fini par abandonner l’affaire.

Par la suite la colonie se révélait être un lieu agréable et j’en garde un bon souvenir, malgré le fait d’avoir pris le train en marche et d’être arrivé au milieu du repas, tous les gamins se connaissaient déjà et j’étais un peu l’oublié du moment puis cela s’équilibrait avec facilité.

Le poisson et moi

Revenons à l’odeur de friture de poisson désagréable à mon nez. ELLE devint la plus détestée, la plus rapidement décelée, la plus révulsée à mon nez. L’odeur de friture de poisson n’a pas de concurrence pour moi, donc je décèle très facilement cette mauvaise odeur. Plus tarde après cette expérience « traumatisante » arrive parfois que cette odeur chatouille mes narines et mes réactions correspondaient à mon dégout. Les poissons pêchés et ramenés à la maison n’étaient pas frit, mais poêlé, donc sans cette mauvaise odeur habituelle. Le temps passe vite et me voilà cuisinier et recrue aide de cuisine sous l’uniforme. L’armée, même en Suisse forme le caractère et à l’époque en plein dans la Guerre froide, il fallait être du bon côté et fermer sa bouche pour rester poli.

On mangeait de la vache enragée, des rations datées encore comestibles, le « piano » de la caserne fonctionnait au bois et l’on cuisinait dans des grandes marmites que l’on nomme « romaine ». Le palan était nécessaire pour sortir les romaines et les nettoyer. La tambouille était le quotidien pour nous tous. Pas raffinée, ni ordinaire ou gastronomique, cette cuisine n’était pas au beurre. L’huile était pas bonne, la graisse était proche de la graisse à canon et aucune des deux n’étaient bonne pour faire de la bonne cuisine. Pire que tout, quand elles étaient chauffées, catastrophe, elles sentaient le poisson. Voilà qu’elle était là à la cuisson d’un quelconque morceau de viande ou des pommes de terre. Les autres ne ressentaient pas la même chose que moi et il a été difficile d’obtenir huile et beurre ou bonne graisse à notre fourrier. Je n’ai jamais connu la composition de l’huile ou de la graisse, mais l’origine de cette odeur de poisson m’est connue avec l’expérience que je pouvais avoir en cuisine. L’huile de colza ne devait pas être chauffée mais être consommée à température ambiante.

https://cuisineetjardin.wordpress.com/2016/11/29/le-meilleur-de-la-cuisine-de-larmee-suisse/

Mes allégations aux collègues cuisiniers partout où je travaillais, ne croyaient pas forcément mes affirmations sur une mauvaise odeur que l’huile de colza dégageait en chauffant, puisque j’étais le seul à le dire. Avec le temps, je trouvais quelques personnes ayant le même dégout à propos de cette huile. La promotion de cette huile dans nos journaux coïncidait avec l’augmentation des champs de colza qui longeaient les autoroutes nationales. Je retrouvais cette désagréable odeur dans des plats préparés industriellement, c’est bien chez nous que nous avons Nestlé. Nous avons deux très gros distributeurs avec de nombreuses enseignes partout en Suisse et même de l’autre côté de nos frontières. Les plats préparés ne sont pas fait avec les meilleurs aliments et les meilleurs produits d’assaisonnement et des meilleurs liants, non on cache la façon d’on le plat préparé est fabriqué ou du moins on fait une liste de produits ajouté avec les additifs abrégés pour ne rien comprendre.

Le poisson et moi

Cette odeur de friture de poisson était de plus en plus présente. À lire la composition de ces plats, on trouve très souvent l’huile de colza qui pendant très longtemps a été une préoccupation pour certain gouvernants et pour la sécurité alimentaire. En Suisse on ne demande pas trop l’avis du public pour ces choses-là. Par contre dans certains pays, comme la France, c’est une préoccupation de savoir par avance si le produit peut être consommé par le Peuple. La Suisse a discrètement introduit l’huile de colza depuis longtemps en douce et partout. Quand l’argent commende on fait feu de tout bois.

J’ai cherché sur Internet des articles ou des études sur le sujet, rien ! C’est compliqué de trouver en Suisse et demander pourquoi on trouve de l’huile de colza dans une barre chocolatée. Ceux qui sont censés nous renseigner, les associations consuméristes, ne sont pas intéressés ou alors il y a une autre raison qui ne m’a jamais été donnée. Soudain la préoccupation mondiale était l’huile de palme non pas pour ses propriétés organoleptiques mais pour la déforestation que nécessite la culture des palmiers.

J’ai quand même trouvé un article ou les commentaires d’une étude française sur l’huile de colza qui date de 2006 au moment où en France le regard sur l’huile de colza change. C’est très intéressant de voir ce document qui dit en toutes lettres que certaines personnes sentent l’odeur de poisson quand cette huile chauffe et d’autres ne sentent rien. [A lire, lien en bas de page.]                             

J’avais donc vu juste ! On est tous différent face à certaines choses, les goûts et les couleurs sont tous divergents et l’on est d’un groupe ou d’un autre, et l’huile de colza n’est pas pour moi. Dès ce constat fait, suis-je en droit d’en parler ? Face à cette déclinaison que l’huile de colza n’est pas bonne, si je ne précise que cette affirmation n’est valable que pour moi, pour mon nez, je choque beaucoup de monde. Je ne peux faire d’un cas une généralité. Mais d’autre part, les fournisseurs de cette huile devraient d’eux-mêmes expliquer que pour certaines personnes cette huile ne convient pas. Si seulement cela était possible, les producteurs qui préparent des produits divers en cherchant absolument à cacher la composition du dit produit ne peuvent accepter de reconnaitre que cette huile n’est pas indiquée pour une partie de la population. Il faut juste apprendre à décoder ce qui est écrit tout petit derrière un emballage menteur.

Toute ma vie de cuisinier ou d’individu ordinaire, j’ai trop évité le poisson, d’en manger ou de le préparer pour d’autre. Alors que je sais bien qu’il y a des poissons sans odeurs particulières et qui se mange accompagnés d’une sauce qui change le goût du poisson, etc.

Voilà la fin de mon propos sur la désagréable odeur de poisson que je sens quand l’huile de colza est à proximité de mon nez.

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17 mai 2019 5 17 /05 /mai /2019 17:00

Documents d’Histoire Suisse 1240 – 1516

Le comté de Gruyère, divisé en cinq bannières ou mandements militaires, s’étendait des sources de la Sarine jusqu’à La Tour-de-Trême et à Montsalvens. Il était la possession de petits dynastes avant de passer, en 1244, sous la suzeraineté de la maison de Savoie. En 1349, le comte de Gruyère se nomme Pierre IV ; son bouffon, Girard Chalamala, « considérant que la mort est inévitable et son heure incertaine », rédige un testament. Il nous apparaît comme un gentilhomme campagnard à qui la fortune a souri. Nous reproduisons son testament d’après les pp. 74-77 de Fr. Reichlen, le testament de Girard Chalamala, bouffon du comte de Gruyère, pp. 73-89 de la Revue historique vaudoise, 29e année, Lausanne, 1921, 384 p.

Par Michel Salamin – Collection Recueils de Textes d’Histoire Suisse

                Au nom de Dieu, amen. Moi, Girard dit Chalamala, bouffon d’illustre et puissant seigneur Pierre, comte et souverain de Gruyère, étant par la grâce de Dieu sain d’esprit et de corps, considérant que la mort est inévitable et son heure incertaine, désirant ne pas mourir intestat, j’ai dicté mes dernières volontés dans les conditions suivantes, qui sont l’expression de ma détermination intime. En premier lieu je recommande mon âme à Dieu tout-puissant.

                J’institue héritier de tous mes biens meubles et immeubles, présents et futurs, acquis et à acquérir, et cela à titre universel, mon frère Michel, dit Brisizom, pareillement bouffon. Je veux que mes dettes, mes legs se payent sans récriminations le jour de mon décès, par l’intermédiaire des exécuteurs testamentaires nommés. Je choisis pour lieu de ma sépulture la chapelle de Saint-Nicolas, en l’église paroissiale de Gruyère, où je désire reposer avec la grâce de Dieu. Je donne à cette chapelle, une fois pour toutes, 26 sols de Lausanne de cens et pour la fondation d’une messe, pour laquelle je donne 20 sols de Lausanne. Je donne et lègue à l’église paroissiale de Saint-Théodule de Gruyère 60 sols de Lausanne. Je donne et lègue une fois pour toutes à la même église 10 sols de Lausanne pour le repos de l’âme de Blier, bouffon d’Aarberg et celui de ses ancêtres. Je donne et lègue, une fois pour toutes, à l’abbaye de Marsens pareillement, une vache. Item je donne aux pauvres malades assistés de l’hôpital de Notre-Dame de Fribourg 10 sols de Lausanne, plus quatre draps de lit. Item aux Augustins, de Fribourg, 10 sols de Lausanne. A ma femme Reynaude, je lui donne et lègue, sa vie durant, l’usufruit de la moitié de ma maison située à Gruyère, contiguë à celle de Mermet Moret, voiturier, d’un côté, et mon jardin duquel il en sera fait deux parts, ainsi que la moitié de mes autres biens meubles et immeubles, le jour de mon décès. J’assigne à Jordanne, ma fille naturelle, femme de Girard Jolivete, bouffon, 18 livres de Lausanne, à prélever au cas où la dot serait revendiquée, à prendre sur l’autre moitié de ma maison ainsi que sur l’autre moitié de mes biens meubles et immeubles. Je veux et j’ordonne qu’en cas de revendication ma fille conserve son trousseau ainsi que les donations entre vifs. Item je donne aux douze prêtres qui assisteront à mes funérailles et célébreront la messe, à ceux qui pourront s’y rendre, 30 deniers de Lausanne. Si le nombre ne peut être atteint, on fera une distribution aux prêtres qui s’y rendront peu après. Item je donne aux pauvres clercs qui serviront la messe, le jour de mes obsèques, 15 sols de Lausanne pour être distribués par le curé de Gruyère. Pour le luminaire, je donne 15 sols de Lausanne. Je donne et lègue au curé de Gruyère 15 sols de Lausanne ou une vache. Item je donne et lègue à la léproserie des Vernez, près de Gruyère, 2 sols de Lausanne. Je veux et ordonne que mon argenterie serve à faire un calice pour la chapelle de Saint-Nicolas ; s’il manque de la matière, on la prendra sur l’ensemble de mes biens. Je veux que mes tuniques soient distribuées à mes parents pauvres par l’intermédiaire des exécuteurs testamentaires, lesquels sont : mon seigneur le comte précité, seigneur Anselme de Arano, curé de Gruyère, dame Marguerite, femme du noble seigneur Jean de Wolgiswyl, chevalier, et Aymon de Wallier, notaire de mon seigneur comte indiqué.

Testament de Girard Chalamala, bouffon du comte de Gruyère (1349)

Eh bien voilà des volontés bien rédigées. Preuve aussi que la profession de bouffon était une bonne place et enrichissante. La question aujourd’hui est de savoir combien valait/vaut, une Sol de Lausanne.

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10 avril 2019 3 10 /04 /avril /2019 17:08

Les informations qui nous sont quotidiennement diffusés à heures fixe, sont d’une neutralité très Helvétique.

« À « X » village du canton « Y », un arbre tombe sur une voiture, blessant son occupant qui sera sauvé par son chien qui hurlait à mort sur le siège passager. »

Telle pourrait être une information du journal télévisé de chez nous. Un fait divers sans trop d’importance et certainement sans trop de détails qui pourraient révéler l’identité du chauffeur ou du chien. Le traitement de l’information très neutre, ne pas révéler des faits trop personnels ou dire pourquoi l’arbre est tombé ainsi et surtout ne pas dire à qui appartient l’arbre. Ne surtout pas faire du tort à quiconque.

À l’international, l’information est traitée de la même façon, la Suisse ne prend pas fait et cause pour untel et surtout ne pas donner trop d’opinion sur tel ou tel fait.

En ce moment on nous dit beaucoup et pourtant rien en réalité sur ce qui ce passe en Libye. Les journaux français sont plus prolixes. Les raisons sont plus claires de leurs intérêts pour ce conflit qui parait si soudain. La réalité, c’est que la France a toujours eu beaucoup d’intérêts à regarder ce que faisait la Libye, puisque cela fait plus de trente ans que la France est concernée, si ce n’est plus encore. (Total)

Les images d’actualité à propos des troubles qui ont lieux dans les environs de la capitale convoitée, nous montrent des tas de véhicules, des Pick-up, surmonté de mitrailleuses, qui roulent en file indienne. L’image veut dire voilà les combattants libyens. Tien tien ! On a déjà vu ces images, peut-être un peu plus vieilles, moins belles, moins bling-bling. Un défilé de pick-up de marque japonaise, Toyota pour être claire. Dans ce même pays, il y a trente ans on a même donné le nom Toyota à un conflit dans le sud du pays et là encore ou toujours, les français étaient impliqués. (La guerre des Toyota.)

La France est un « protecteur » du Tchad et du Mali, comme les Américains ailleurs sont protecteurs pour les mêmes raisons, les ressources pétrolières et minières. Une politique en faveur du « protecteur » sera mieux comprise de tous, alors on favorise untel plutôt que d’autres, même si c’est un méchant qui gagne le pouvoir du pays. Le Figaro.

Je reviens aux images, anciennes ou actuelles des Toyota qui se suivent devant les caméras. Pourquoi donc des pick-up de cette marque ? Pourquoi les méchants et les gentils utilisent ces pick-up et non ceux d’une autre marque, par exemple un Ford ou un Chevrolet ? Y aurait-il un secret dans cette utilisation de ce modèle de pick-up ? Eh bien Oui, c’est le meilleur, le plus solide et le plus adapté pour ces conflits. La première fois que l’on mettait une mitrailleuse sur un véhicule civile, c’est le jeune lieutenant Patton en chassant Pancho Villa qui trouva bien de faire ainsi, c’était en 1915.

Par la suite on comprit très vite l’utilité des automobiles civiles pour un usage de guérilla urbaine et des zones désertiques. La Ford T est vite devenue l’exemple américain de bien faire la chasse aux autres. Puis un jour ils décidèrent de blindé les petites voitures et c’est devenu une autre histoire.

Le Toyota Hilux est devenu celui sur qui on peut compter pour faire une guerre civile, une révolution ou simplement une petite guerre de frontière.  La 8ième génération est toujours utilisée pour les mêmes raisons que celles du passé.

Voulez-vous voire comment est solide ce pick-up ou combien il est utile aux soldats de partout? Suivez le lien ici et lisez l’article et une fois lu, cliquez sur lecture de la vidéo en fin d’article. Killing a Toyota Part 1 / Top Gear / BBC et une fois vu, lisez la part 2 et la dernière part 3 affiché dans les propositions y-tube.

Le plus solide et fiable au monde ! Ou alors les belligérants du monde entier sont dans l’erreur… dans l’ignorance du pick-up qui est encore mieux.

Notre Téléjournal ne dit rien de tout cela. Certains vont même dire que c’était mieux avant, avec Kadhafi.

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 18:00
Question de mode

Le monde est différent aujourd’hui que hier. Ce qui est bien aujourd’hui était rare ou inconnu par le passé.

Exemple les prénoms à la mode aujourd’hui, très loin des prénoms des Saints du calendrier qui hier rythmaient la société lors d’une naissance. L’administration fédérale et son bureau des statistiques nous dit ce qu’il en est des prénoms en vogue en Suisse pour l’année 2017.

Chez les filles…

1 Emma, 2 Mia, 3 Sofia, 4 Lina, 5 Lena, 6 Lea, 7 Lara, 8 Emilia, 9 Nina et 10 Anna.

Beaucoup de « A » pour être au goût du jour. Tous ces prénoms ont une origine Grec, Latine et Arabe et Hébraïque. Très vieux prénoms. Lena semble être le prénom le plus « moderne » et le toujours célèbre palindrome Anna, lui aussi vieux prénom.

Et chez les garçons ?

Pour eux la tendance est plus exotique à mes yeux.

1 Noah, 2 Liam, 3 Luca, 4 Leon, 5 Gabriel, 6 David, 7 Elias, 8 Samuel, 9 Matteo et 10 Ben.

Tous ces prénoms d’origine biblique reviennent à la mode depuis quelques années.

Vous avez certainement un autre prénom que ceux-ci, alors suivez le lien suivant : ICI

Pour une requête sur votre prénom ou pour connaître la Suisse et les Suisses en chiffres.

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28 février 2019 4 28 /02 /février /2019 20:04

ICI

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28 février 2019 4 28 /02 /février /2019 19:44

On attend encore la mise à l’eau de la réplique du Titanic pour bientôt. On en parlera le moment venu. Des infos ici.

GTell

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28 février 2019 4 28 /02 /février /2019 19:36

Aujourd’hui j’apprends que l’on a livré aux armateurs genevois, le MSC Bellissima, paquebot monstrueux, c’est mon opinion, ressemblant comme aux autres paquebots de notre temps.

Le plus gros paquebot du monde, navire de croisière a son jumeau, le MSC Meraviglia, comme en son temps le Titanic, lui aussi avait un jumeau l’Olympic. Lien ici.

Les Jumeaux

Les Jumeaux

Les armateurs ont-ils tous cette préoccupation : « Si l’un coule il nous restera l’autre ! »

Pour moi, les lignes esthétiques des paquebots du XXe siècle sont plus jolies que celles d’aujourd’hui. L’élégance d’autrefois est plus… comment dire, plus élégante quoi !

MSC Bellissima ici

MSC Croisière (Genève) ici

GTell, Internet et nos journaux

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21 janvier 2019 1 21 /01 /janvier /2019 17:09

Oui, la question mérite une réponse : Combien de mots faut-il pour être compris !?

C’est en lisant comme d’habitude mon journal matinal en buvant un mauvais café cher payé, que j’apprends que les conditions générales que l’on est censé lire avant d’activer un smartphone ou un service ou une application quelconque, que l’on sait d’avance être ennuyeux comme un dimanche de pluie en automne, contient plus de mots que certains livres des plus classiques.

Selon le magazine alémanique pour consommateurs « K-Tipp », il faut cinq heures pour lire les CG du nouveau Samsung Galaxy. L’acheteur doit accepter soit les CG du fabricant, soit celles de Google, qui fournit le système d’exploitation. Au total, cela représente 73000 mots. L’utilisateur d’un iPhone s’en tire mieux, puisque l’appareil et le logiciel proviennent du même producteur. (Apple) ; il n’aura « que » 38000 mots à lire.

À titre de comparaison, Ernest Hemingway s’est contenté de 27000 mots pour son chef-d’œuvre  « Le vieil homme et la mer » (144 pages).

Sources ATS et 20 Minutes.

Ok, vous avez le choix de lire vos CG ou lire le Vieil homme et la mer, ICI.

Combien de mots…
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